De l'Allemagne

Գրքի շապիկի երեսը
Clarendon Press, 1906 - 232 էջ
 

Common terms and phrases

Սիրված հատվածներ

Էջ 227 - O FAIREST flower, no sooner blown but blasted, Soft silken primrose fading timelessly, Summer's chief honour, if thou hadst outlasted Bleak Winter's force that made thy blossom dry ; For he, being amorous on that lovely dye That did thy cheek envermeil, thought to kiss, But killed, alas ! and then bewailed his fatal bliss.
Էջ 208 - He shall not drop," said my uncle Toby, firmly. " A-well-o'day, do what we can for him," said Trim, maintaining his point ; " the poor soul will die." " He shall not die, by G — ," cried my uncle Toby. The accusing spirit, which flew up to heaven's chancery with the oath, blushed as he gave it in ; and the recording angel, as he wrote it down, dropped a tear upon the word, and blotted it out for ever.
Էջ 32 - On prend quelquefois le mot classique comme synonyme de perfection. Je m'en sers ici dans une autre acception, en considérant la poésie classique comme celle des anciens, et la poésie romantique comme celle qui tient de quelque manière aux traditions chevaleresques. Cette division se rapporte également aux deux ères du monde: celle qui a précédé l'établissement du christianisme, et celle qui l'a suivi.
Էջ 34 - Les anciens avaient , pour ainsi dire, une âme corporelle, dont tous les mouvements étaient forts , directs et conséquents; il n'en est pas de même du cœur humain développé par le christianisme : les modernes ont puisé dans le repentir chrétien l'habitude de se replier continuellement sur eux-mêmes.
Էջ 183 - TRAGEDY, as it was anciently composed, hath been ever held the gravest, moralest, and most profitable of all other poems ; therefore said by Aristotle to be of power, by raising pity, and fear, or terror, to purge the mind of those and such like passions, that is, to temper and reduce them to just measure with a kind of delight, stirred up by reading or seeing those passions well imitated.
Էջ 30 - La poésie lyrique ne raconte rien, ne s'astreint en rien à la succession des temps, ni aux limites des lieux; elle plane sur les pays et sur les siècles; elle donne de la durée à ce moment sublime, pendant lequel l'homme s'élève au-dessus des peines et des plaisirs de la vie. Il se sent au milieu des merveilles du monde comme un être à la fois créateur et créé, qui doit mourir et qui ne peut cesser d'être, et dont le cœur tremblant, et fort en même temps, s'enorgueillit en luimême...
Էջ 149 - Cette disposition tient aux grands changements intellectuels qui ont eu lieu dans l'homme ; il tend toujours plus en général à se replier sur lui-même, et cherche la religion , l'amour et la pensée dans le plus intime de son être.
Էջ 31 - ... vers sur ce sujet, puis sur celuici, puis sur celui-là ; — et, sans s'en apercevoir, il nous met dans la confidence de sa manière de travailler. Le véritable (poète conçoit, pour ainsi dire, tout son poème à la fois au fond de son âme ; sans les difficultés du langage, il improvise5 rait, comme la sibylle et les prophètes, les hymnes saints du génie.
Էջ 80 - Schiller, Goethe , etc. ; mais quand il ne s'agit dans les ouvrages de l'art que de retrancher, cela n'est pas difficile : c'est...
Էջ 161 - J'ai parcouru les mondes, je me suis élevé au-dessus des soleils, et là aussi il n'est point de Dieu ; je suis descendu jusqu'aux dernières limites de l'univers, j'ai regardé dans l'abîme, et je me suis écrié : "Père, où es-tu ?" Mais je n'ai entendu que la pluie qui tombait goutte à goutte dans l'abîme, et l'éternelle tempête, que nul ordre ne régit, m'a seule répondu.

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