...visites, etc. Je rn'irna» gine que cette nation intrigante ne serait pas » fâchée de se mêler de nos affaires et de souffler » le feu entre la Grande-Bretagne et ses colo» nies » Ah! si M. de Vergennes avait connu cette lettre! On n'aura pas de peine à croire que...

...fait des visites, etc. Je me figure que cette nation intrigante voudrait se mêler de nos affaires et souffler le feu entre la Grande-Bretagne et ses colonies;...j'espère que nous ne lui en donnerons pas l'occasion '. » Franklin le désirait encore plus qu'il ne l'espérait. Il n'avait nulle confiance dans la sagesse...

...fait des visites, etc. Je me ligure que cette nntion intrigante voudrait se mêler de nos affaires cl souffler le feu entre la Grande-Bretagne et ses colonies;...j'espère que nous ne lui en donnerons pas l'occasion '. » Franklin le désirait encore plus qu'il ne l'espérait. Il n'avait nulle confiance dans la sagesse...

...Cette nation intrigante, » dit Franklin (i), « aimerait volontiers attiser le feu entre l'Angleterre et ses colonies ; mais j'espère que nous ne lui en donnerons pas l'occasion. » « En Angleterre, » remarquait encore Durand (2), « il n'y a personne qui ne reconnaisse qu'un...

...fait des visites, etc. J'imagine que cette nation intrigante' ne serait pas fâchée de se mêler de nos affaires et de souffler le feu entre la Grande-Bretagne...j'espère que nous ne lui en donnerons pas l'occasion. Je vous écris à la hâte, car je pars dans une heure pour un autre voyage, avec mon solide et bon...

...à son fils : « J'imagine que cette uation intrigante aimerait à se mêler de nos affaires et à souffler le feu entre la Grande-Bretagne et ses colonies; mais j'espère que nous ne lui donnerons pas ce plaisir. » M. de Vergennes entre au ministère. L'attitude calme et digne des Américains...

...m'imagine, disait-il (août 1767), que cette intrigante nation, ne serait pas fâchée de s'immiscer dans nos affaires, et de souffler le feu entre la...et ses colonies; mais j'espère que nous ne lui en fournirons point l'occasion. » L'occasion était toute produite et toute oiiverte dix ans après,...

...m'imagine, disaitil (août 1767), que cette intrigante nation ne serait pas fâchée de s'immiscer dans nos affaires, et de souffler le feu entre la...et ses colonies ; mais j'espère que nous ne lui en fournirons point l'occasion." L'occasion était toute produite et tout ouverte dix ans après, et c'était...

...fils j « J'imagine que cette nation intrigante aimerait à se mêler de nos affaires et à soufflerie feu entre la Grande-Bretagne et ses colonies; mais j'espère que nous ne lui donnerons pas ce plaisir (1). » La même année, il avail fait un séjour à Paris, où, déjà célèbre...

...: « J'imagine que cette nation intrigante (la France) aimerait à se mêler de nos affaires et à souffler le feu entre la Grande-Bretagne et ses colonies; mais j'espère que nous ne lui donnerons pas ce plaisir. » Ces sentiments changèrent vite, une fois l'insurrection commencée. Si...