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vous opposez donc à ses desseins (Montesquieu Lettres pers. LXXIV.)

Douaire, douairier ... ère. nach Littré gleich dou-ér; on prononçait encore au commencement de ce siècle dou-arié etc.

Becherelle hat dieselbe Aussprache; auch Feline. Malvin 168: Quelques grammairiens indiquent la prononciations de ces deux derniers mots comme s'ils étaient écrits doua-rié, doua-riêre, et c'est en effet l'intonation la plus générale, dans la conversation surtout.

Echec spricht Littré échek; au pluriel: des échek-zinattendus; aber die Schachspiele: les échè. Steffenhagen giebt folgende Regel p. 262 echec Schach in der Einzahl hat ein lautes c; die Mehrzahl échecs in der Bedeutung Schach hat ein stummes c, in der Bedeutung Verlust hat es im Singularis und Pluralis ein lautes c.

Feline: échek und fügt hinzu: le k final ne se prononce pas au pluriel. On dit des échê, le jeu d'échê; ebenso Bescherelle. Das Wort elle bezeichnet Littré è l', und jedenfalls ist auch diese Ausprache natürlicher und daher üblicher als die häufig angeführte él. Empoigner (po-gné). Quelques-uns disent empoi-gner; mais cette prononciation est beaucoup moins usitée.

Feline gehört zu diesen; während Bescherelle der Meinung Littré's ist. Littré spricht équiponderant und équipondérance, also qui kui; ebenso Bescherelle; doch Malvin-Cazal spricht ki.

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Das Wort ès, die bekannte in einigen Redensarten vorkommende Contraction aus en und les (docteur, bachelier ès lettres) sprechen Feline und Bescherelle (ès, èce). Littré will vor Consonanten ê sprechen und vor Vocalen das s binden, also: Bachelier ê lettres, maître è zarts. Plusieurs, sagt er, prononcent l's = ès lettres.

Beim Worte Osten est sagt Littré: L's et le t sont nuls dans la prononciation, lorsque ce mot termine le nom d'une aire de vent; ainsi sud-est, nord-est se prononcent su-è, nor-dè, que ces expressions soient on ne soient pas précédés du nom d'une autre aire de vent, Legorant. Cette prononciation est la prononciation constante des marins, mais dans l'intérieur et particulièrement à Paris, on fait sentir l's et le t

Jedenfalls ist wohl su-è ein Druckfehler und soll su-dè lauten. Alle andern Orthoepisten, welche ich nachgeschlagen, wissen von dieser Aussprache nichts.

Bei Estomac sagt Littré: le c ne se fait jamais sentir; cependant quelques uns prononcent le c devant une voyelle.

das c.

Dubroca spricht z. B. un estoma-kintraitable; auch Feline spricht Malvin-Cazal (436): Dans les seuls mots estomac et tabac, le c final ne s'articule point quand ils terminent une phrase ou qu'ils sont suivis d'un mot commençant par une consonne: Un estoma délabré. Da taba de Virginie. Mais le c sonne quand le mot suivant commence par une voyelle ou une h non aspirée.

Bei examen = egzamin sagt Littré: Quelques personnes pro

noncent èn, mais cette prononciation est affectée, autrefois c'était la bonne. Diese gerügte Aussprache examène finde ich auch bei Malvin 60 (ègzamène). Auch Plötz Wörterbuch giebt sie. Die übrigen Orthoepisten sprechen wie Littré. Eines originellen Citats wegen verdient hier die Bemerkung der Academie angeführt zu werden. Sie sagt: On prononce ordinairement la syllable finale comme celle de chemin; quelques-uns au contraire font sentir l'N au singulier comme dans le mot latin (?) amen.

Malvin-Cazal will das

Das Hauptwort fait spricht Littré fè. tim Singularis hören lassen: des voies de fait, un fait remarquable. - Feline giebt auch die Aussprache fèt an. Bemerkt aber: On prononce fé lorsque ce mot est suivi d'une consonne. On ne fait pas non plus sentir le t dans le pluriel faits, et dans la locution tout-à-fait, si ce n'est pour former la liaison avec le mot suivant s'il commence par une voyelle: tût a fè juste; tût a fait équitable. Auch De Castres (phonologie 30) und Gattel sprechen das t.

Das Wort fat soll nach dem Ausspruch der Academie fat mit hörbarem t gesprochen werden. Diesem Ausspruch folgen die übrigen Orthoepisten; Littré aber sieht keinen Grund, es anders zu sprechen wie rat, plat etc., deren t stumm ist.

Der Heuschoppen le fenil spricht Littré mit mouillirtem 1, und fügt hinzu: Plusieurs prononcent feni même devant une voyelle.

Auch die Academie, so wie Landais, Levisac (Gram. I. 81); dagegen spricht Feline: fenil. Malvin 410 sagt: Le dictionnaire de l'Académie dit que l'l se mouille dans fenil. L'usage est contraire à cette liaison, particuliairement dans la conversation; on dit: le feni est tout plein.

Ueber die Aussprache des Wortes fils ist vielfach gestritten worden Ich gebe hier erst die Meinung Littre's und lasse dann die anderer französischer Orthoepisten folgen. Littré spricht fi, bindet aber das s le fi zaîmé. Er fügt dann hinzu: Beaucoup de gens ont pris depuis quelque temps l'habitude de faire entendre l's quand le mot est isolé ou devant une consonne, un fiss; c'est une très mauvaise prononciation. Auch in der Vorrede eifert er schon gegen die Aussprache fiss.

Hören wir nun die andern Orthoepisten:

Féraud (dict. gram. I. 1. p. 149) sagt: Quand il ne termine pas la phrase, on ne fait point sentir l's: fi.

Gattel (dict. univ.) sagt bei fils: l' ne se prononce jamais, et quand ce mot ne termine pas la phrase on ne fait pas sentir l's.

Domergue (Manuel des étrangers 459). Les sentiments sont partagés sur la prononciation de ce mot. On dit mon fi et mon fis. Cette dernière prononciation plus marquée me paraît convenir mieux à l'intérêt que ce mot réveille. Girault Duvivier (Gram. I. 63 Not. 42) fügt hinzu: Dans le discours soutenu il est mieux, tant en vers qu'en prose de faire sonner le s; et de prononcer fis, même devant une con

sonne; mais à la fin des vers, ce mot rime également bien avec Laïs, Paris, gratis, où le s est sonore et avec coloris, lambris, avis, où cette lettre est muette; alors seulement le goût prescrit quand il faut prononcer fi sans sentir le s final. Kratky (in seinem Versuche einer verglei chenden Grammatik Znaim 1840. 28) meint: Am Ende der Phrase oder vor einer Pause spreche man besser fice, ebenso fice vor einem Worte, mit welchem Liaison statt finden kann; jedoch in beau-fils und vor einem Consonanten ohne eintretende Pause sage man immer fi. — In Bezug auf das letztere Wort beau-fils stimmt er mit Littré und Bescherelle überein.

Feline giebt nur die Aussprache fis an: auch Dubroca spricht fis vor Consonanten.

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Malvin-Cazal 499. Dans le mot fils, l's seul s'articule devant un mot commençant par une consonne. Un fis docile, un fis légitime; elle s'articule également seule et se lie comme z devant une voyelle ou une h non aspirée. Un fi-zingrat. Mon fi-zhérite. An einer andern Stelle aber p. 357, obwohl er dabei auf das bereits Gesagte verweisst, sagt er gerade das Gegentheil: On prononce fis devant une voyelle ou à la fin d'une phrase; partout ailleurs on prononce fi.

Mozin spricht fi aber fice vor Vocalen und am Ende des Satzes. Boiste will fis sprechen. Endlich Bescherelle sagt: Les sentiments sont partagés sur la prononciation de ce mot. On dit mon fi et mon fis; cette dernière prononciation plus marquée paraît convenir mieux à l'intérêt que ce mot réveille. Aussi est-elle prescrite par la plupart des grammairiens et usitée par toutes les personnes qui parlent bien. Il serait ridicule dans le discours soutenu, de ne pas faire sonner l's dans toutes les circonstances où ce mot peut se trouver. Toutefois devant un mot qui commence par une voyelle, l's de fils a le son du z; des fils aimables, des fils ingrats, se prononcent des fi-zaimables, des fi-zingrats. A la fin d'un vers on prononce fi ou fis, selon que la rime l'exige; car ce mot rime également bien avec Laïs, Pâris, gratis, où t est sonore et avec coloris, lambris, avis, rubis, où cette lettre est muette. Auch De Castre (phonologie p. 31) spricht fis.

Das Wort foène (Fischgabel) bezeichnet Littré fouène.

Fouetter spricht er fouè-té, und fügt hinzu: Quelques-uns disent foi-té, mais cette prononciation n'est pas bonne.

Bescherelle bezeichnet: fou-ê-té; Feline aber fûaté.

Fret (louage d'un vaisseau) spricht Littré wie auch Bescherelle fré; doch Malvin-Cazal wie Feline folgen der Academie und sprechen fret mit hörbarem t.

Bei dem Worte Brand la gangrène sagt Littré: L'académie dit qu'on prononce kangrène; c'est une prononciation ancienne, la plus reçue au XVII siècle; il faut prononcer cangrène, disent Marg. Boufflet, observ. p. 134 et Chifflet gram. 227. Cette prononciation qui

etait suggérée par le desir d'éviter deux syllables commençant consécutivement par g, n'a plus l'usage pour elle, quoi qu'en dise l'Académie ; les médecins, qui sont ceux qui se servent le plus de ce mot, ne disent que gan-grène.

Wir müssen dies Littré, dem Arzte, schon glauben; selbst wenn wir diese Aussprache nicht von Feline und Bescherelle bestätigt fanden. Malvin-Cazal sagt p. 448: Les mots gangrène, se gangrener, gangréneux et gangréneuse, se prononcent: can-grė-n', se can-gre-ne', can-gré-neu, can-gré-neuz'; mais, dans la conversation, on conserve au g initial son son propre. Nun in der höheren Poesie und Prosa

möchten wohl diese Wörter schwerlich vorkommen.

Plötz giebt in seinem Wörterbuch kangrène an.

Das Wort gars (der Bursche) spricht Littré gar ou ce qui est la prononciation la plus usuelle gâ. Voilà un beau gar.

Feline bezeichnet gleichfalls gar ou gå und fügt in einer Anmerkung hinzu gar est un mot du vieux français; gâ est populaire et usitée dans plusieurs provinces.

Ich komme nun zu einem viel gebrauchten Wort, dessen Aussprache trotzdem aber schwankend ist. Ich meine das Wort gens. Littré bezeichnet jan und fügt hinzu l's se lie: des jan-zaimables; quelques personnes font sentir l's: des jans; mais c'est une mauvaise prononciation.

Dubroca (traité de pron. 73) will jans sprechen. Bescherelle gibt eben so wenig wie die Academie eine Aussprachebezeichnung an; woraus wohl hervorgeht, dass sie regelrecht jan sprechen wollen. Auch Feline spricht jan; ebenso Catineau in seinem Wörterbuch.

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--

gen

Ce sont les

d'honneur

Malvin-Cazal sagt p. 362: En général, l's se fait entendre dans les mots gens et sens, lorsque, après eux, on peut faire une pause; mais s devient nul, si la est impossible, c'est-à-dire si sa clarté de la phrase exige que l'on prononce le mot suivant sans suspension, ce qui a lieu lorsque gens est suivi d'un pronom, ou d'un adjectif, ou d'un participe qui s'y rapporte; on dit, sans faire sonner l's: les bonnes gen ne savent ce qu'ils veulent. plus sottes gen qu'on ait jamais vus. Ce sont des des gen de qualité des gen de marque des gen d'affaires — des gen sans aveu Tous mes gen sont malades etc. cas on fait toujours entendre l's: Le droit des gens. Il y a des gens qui pensent ainsi Ce sont de fort dangereuses gens Les gens du roi etc. Lesaint (traité de la pron, fr. 221), spricht sich breit über die Aussprache dieses Wortes aus. Lesaint spricht vor Vokalen jan und bindet das s wie z, also des jan zheureux. Er sagt weiter: Mais devant une consonne, ou à la fin d'une phrase, la prononciation de ce mot est moins certaine; l'Academie n'en parle pas, et les lexicographes modernes ne s'accordent pas sur la manière de prononcer ce

Hors ce

mot: les uns disent de faire sentir l's dans tous les cas; les autres, seulement devant une voyelle, ou une h muette.

Il est certain que, dans la bonne société, les mêmes personnes prononcent tantôt jance, et tantôt jan, selon la place que le mot occupe dans la phrase.

A notre avis, la prononciation jance doit être préféré: I's prononcée avec peu de force, retire tout ce qu'il y a désagréable dans le son nasal an, et ne fournit plus aux plaisants l'occasion d'ajouter une des épithètes que le mot Jean, homonyme de gens, traine à sa suite. Nous devons dire toutefois qu'on ne se conformerait pas à l'usage général, si l'on prononçait l's de gens dans les façons de parler sui.

vantes:

Es folgen nun eine Reihe von Beispielen; gens mit folgendem de (gens de guerre, d'Eglise, de loi etc.) und mit dem Genitif (gens de la ville, de la campagne etc.) unter ihnen auch gens du roi, wo Malvin jans spricht; ferner folgende Beispiele: Tous ces gens-ci, tous ces gans-là, vous êtes de bonnes gens tous les honnêtes gens autres, bonnes gens, vous croyez cela Les vieilles gens sont soup. çonneux. Les jeunes gens sont imprudents etc. Plötz (Wörterbuch und Syntax 47) gibt schlechtweg jance an.

Das h aspirée macht Littré auch Schwierigkeiten.

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Das h ist im Französischen entweder rein etymologisch und wird dann als nicht vorhanden angesehen, es lässt Elision und Bindung zu; oder es ist aspirirt; verhindert die Elision und Bindung, d. h. es wird als Consonant behandelt.

Für uns hat hier nur die Frage Werth: Wie wird das letztere consonantische, sogenannte aspirirte h gesprochen; oder verstummt es ganz? Dass der deutsche Hauchlaut der romanischen Sprachen überhaupt, und auch der französischen fehlt, das wird von Niemand bestritten, nur wollen die Einen, dass das h aspirée ganz verstumme und sein Dasein nur durch die verhinderte Elision und Bindung verrathe, während die Andern meinen, es habe einen hörbaren schwachen Hauchlaut. Wie schon angeführt hatte Feline eine Commission gebildet. um ein phonetisches Alphabet festzustellen, von der jeder einzelne Laut geprüft wurde, um das Zeichen dafür zu finden. In Bezug auf h theilt er uns mit: Le dissentiment a été grand relativement au h aspirée. L'un des membres était d'avis qu'il modifie d'une manière sensible la voyelle qu'il precède. Les autres ont répondu d'abord que, dans ce cas, ce ne serait pas un son véritable, susceptible d'être representé par une lettre, mais une variante dans la prononciation de la voyelle, variante qu'il suffirait d'indiquer par un signe, et ils ont fini par ne pas reconnaître cette modification. Certains mots ont dû admettre le h comme articulation gutturale, ainsi que plusieurs idiomes nous le présentent encore. Le bas-breton, ancienne langue celtique qui etait

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