Louis XVI : son administration et ses relations diplomatiques avec l'Europe: 1774-1776Belin-Leprieur, 1844 |
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... tion française : nos pères furent ou royalistes ou jacobins ; les uns ont été dépouillés de leurs vieux héritages ; les autres les ont acquis ; quelques - uns ont trouvé des blasons de hasard ; d'autres ont été longtemps forcés de ...
... tion française : nos pères furent ou royalistes ou jacobins ; les uns ont été dépouillés de leurs vieux héritages ; les autres les ont acquis ; quelques - uns ont trouvé des blasons de hasard ; d'autres ont été longtemps forcés de ...
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... était un monarque à la présidence de la chambre des pairs . Hélas ! pourquoi faut - il que des malheurs privés aient dispersé cette belle et dernière collec- tion de M. Llande . intentions pures . Ce livre est destiné à prouver qu'il.
... était un monarque à la présidence de la chambre des pairs . Hélas ! pourquoi faut - il que des malheurs privés aient dispersé cette belle et dernière collec- tion de M. Llande . intentions pures . Ce livre est destiné à prouver qu'il.
Էջ 16
... tion des habitants qui emporteraient leurs richesses hors du royaume . Que les enfants des riches fer- miers s'établissent dans les campagnes pour y per- pétuer les laboureurs . Que chacun soit libre de cul- tiver dans son champ telles ...
... tion des habitants qui emporteraient leurs richesses hors du royaume . Que les enfants des riches fer- miers s'établissent dans les campagnes pour y per- pétuer les laboureurs . Que chacun soit libre de cul- tiver dans son champ telles ...
Էջ 18
... tion laissait beaucoup à désirer , et des hommes qui se présentaient avec la volonté et la mission de tout grandir , de multiplier les éléments de la fortune pu- blique , de donner aux pauvres une existence , aux cultivateurs un état et ...
... tion laissait beaucoup à désirer , et des hommes qui se présentaient avec la volonté et la mission de tout grandir , de multiplier les éléments de la fortune pu- blique , de donner aux pauvres une existence , aux cultivateurs un état et ...
Էջ 24
... tion du crédit et de l'argent , puis la nécessité d'É- tats - Généraux ou d'une représentation publique permanente , comme en Angleterre , pour voter les subsides annuels ; on était donc conduit par la force des choses à un changement ...
... tion du crédit et de l'argent , puis la nécessité d'É- tats - Généraux ou d'une représentation publique permanente , comme en Angleterre , pour voter les subsides annuels ; on était donc conduit par la force des choses à un changement ...
Common terms and phrases
actes administration affaires Américains Anglais avaient bailli de Suffren banque c'était cabinet de Versailles cardinal Catherine choses clergé colonies commerce comte d'Artois comte de Saint-Germain comtesse Condorcet conseil cour couronne dauphin devait diplomatie donner duc d'Aiguillon duc de Chartres duc de Choiseul duchesse économistes encyclopédistes escadres esprit États États-Unis fallait femme Ferney finances flotte force Francklin général gentilshommes gouvernement Grande-Bretagne guerre hommes idées j'ai jeune l'abbé l'amiral l'Angleterre l'Autriche l'Espagne l'esprit l'État l'Europe lettres liberté lord Stormont Louis XVI madame main maison de Bourbon Majesté Malesherbes maréchal Marie-Antoinette marine maritime marquis de Villette Maupeou Maurepas ment ministre monarchie Monsieur Motte-Picquet n'avait n'était nation Necker neutres noble noblesse officiers ordres paix parlement pavillon pensée peuple philosophique politique popularité ports pouvait prince principe Prusse puissance Rayneval règne reine Richelieu royale royaume Russie s'était Saint Sartines serait seulement Suffren système tion traité Turgot vaisseaux Vergennes vieille Voltaire voulait
Սիրված հատվածներ
Էջ 14 - Que le souverain et la Nation ne perdent jamais de vue , que la terre est l'unique source des richesses, et que c'est l'agriculture qui les multiplie.
Էջ 16 - Que chacun soit libre de cultiver, dans son champ, telles productions que son intérêt, ses facultés, la nature du terrain, lui suggèrent, pour en tirer le plus grand produit possible...
Էջ 85 - Je soussigné déclare qu'étant attaqué depuis quatre jours d'un vomissement de sang à l'âge de quatre-vingtquatre ans et n'ayant pu me traîner à l'église, M.
Էջ 146 - Le grand aumônier lui a demandé quel nom il voulait lui donner; Monsieur a répondu : « Mais ce n'est pas par où l'on commence; la première chose est de savoir quels sont les père et mère ; c'est ce que prescrit le rituel. » Le prélat a répliqué que cette demande devait avoir lieu lorsqu'on ne connaissait pas d'où venait l'enfant ; qu'ici ce n'était pas le cas , et que personne n'ignorait que Madame était...
Էջ 346 - ... enjoint aux substituts du procureur général du roi d'y tenir la main et d'en certifier la cour dans le mois, suivant l'arrêt de ce jour.
Էջ 266 - St-Priest peut toujours tâter le terrain à Constantinople sur la navigation libre de la mer Noire. Je me trompe fort si les trois cours ne prendront pas querelle à la fin, et gare l'incendie L — • Versailles, 15 avril 1775.
Էջ 231 - Elle s'est résolue à rendre au commerce des grains , dans l'intérieur de son Royaume , la liberté qu'Elle regarde comme l'unique moyen de prévenir , autant qu'il est possible, les inégalités excessives dans les prix, et d'empêcher que rien n'altère le prix juste et naturel que doivent avoir les subsistances, suivant la variation des saisons et l'étendue des besoins.
Էջ 102 - ... prédécesseurs pouvaient être classés, par un esprit juste et raisonnable, avec ceux des siècles barbares ; ou comme si mon royaume ne devait à ces trois règnes le ton et la place qu'il tient et qu'il occupe en Europe. Ce n'est pas à l'Europe...
Էջ 191 - ... de les réduire à des bornes convenables. De tels sacrifices ne nous coûteront rien dès qu'ils pourront tourner au soulagement de nos sujets ; leur bonheur fera notre gloire , et le bien que nous pourrons leur faire sera la plus douce récompense de nos soins et de nos travaux.
Էջ 85 - Dieu dispose de moi, je meurs dans la sainte religion catholique où je suis né; espérant de la miséricorde divine qu'elle daignera pardonner toutes mes fautes; et que, si j'avais jamais scandalisé l'Église, j'en demande pardon à Dieu et à elle. Signé : Voltaire, le 2 mars 1778, dans la maison de M. le marquis de Villette, en présence de M.